Tu étais entrée dans notre famille comme un oiseau de paradis dans une nichée de pigeons. Légère et joyeuse, vivante. Trop vivante pour notre tribu résignée. Un oncle à peine plus âgé que moi t’avait ramenée d’Italie comme un trophée. Les femmes t’avaient haïe d’instinct, puis avec raison quand elles s’étaient rendu compte que tu … Lire la suite L’heure de la sieste