Entrer dans une ville, la nuit, par la mer. Voir la circulation s’arrêter, faire que se lèvent les ponts mobiles, glisser en silence dans le chenal. C’est comme avoir trouvé la clé de la quatrième dimension.
Il me semble que le seul pouvoir qui vaille, c’est celui de se libérer des contingences avec lesquelles le reste du monde se débat. Pour cela il faut être riche, ou puissant, ou avoir un ami qui possède un bateau.